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Florimond

22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 14:01
Le 24 février (oups, c'est déjà dans deux jours), je participe à la journée des préparations à la naissance organisée à Mons pour la première fois grâce à l'association Alter-NativeS. Je vais aider pour les différents stands.

Je vous mets ici le dernier communiqué. Si vous êtes de la région, ou si vous connaissez des gens intéressés par cette journée, n'hésitez pas à venir ou à en parler autour de vous


Ne manquez pas le plus gros événement de l'année organisé par Alter-NativeS : la Journée de Découverte des Préparations à la Naissance, ce dimanche 24 février de 10h00 à 18h00 à Mons.

Cette journée est une occasion unique de rencontrer des professionnels de la naissance présentant différentes disciplines, parfois méconnues, qui permettent de développer la relation parents - bébé et de se préparer à une naissance plus responsable et plus humaine.

Pendant toute la journée, des stands présenteront les différentes préparations à la naissance ainsi que des institutions (notamment les 4 maternités de la région montoise) et ASBL offrant des services aux futurs-parents et jeunes parents.

Accès gratuit aux stands de 10h00 à 18h00 
Adresse du jour : Locaux des Jeunesses Musicales de Mons-Borinage, 430 Chaussée de Maubeuge, 7022 Hyon

Plan d'accès sur notre site : http://www.alternatives.be/agenda.htm#preparations

Lisez aussi l'article paru dans "La Province" sur cette journée : http://www.alternatives.be/presse/PROVINCE_20080212_PROV_ACTUALITE_FULL%206.pdf

Nous espérons vous y rencontrer nombreux et nombreuses !

L'équipe d'Alter-NativeS
http://www.alternatives.be

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23 décembre 2007 7 23 /12 /décembre /2007 15:54
Et voilà, j'ai un deuxième neveu. 

Ambroise, 51 cm et 4,100 kg est né le 22 décembre.

Je lui souhaite la bienvenue
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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 09:53
Interview tiré sur le site de France5

http://www.france5.fr/maternelles/naissance/W00297/13/146551.cfm

 

A domicile : Permettre aux femmes de se réapproprier la naissance 
 

Le docteur Bernard Maria est gynécologue-obstétricien, chef de service de la maternité de Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val de Marne, considère que l'accouchement à domicile devrait faire partie des choix proposés aux femmes enceintes, en France.

Vous avez pris position en faveur de l'accouchement à domicile, pourquoi ?

Dr Bernard Maria : L'enseignement, les habitudes professionnelles et les pressions médico-légales ont imposé un modèle de surveillance périnatale inscrit dans le système de santé. Mais ce modèle ne satisfait plus les patientes, les sages-femmes et beaucoup d'entre nous.

Je pense, avec un certain nombre de mes collègues gynécologues-obstétriciens, que l'accouchement à domicile est une question de liberté pour les femmes. C'est un choix qui devrait être admis et proposé aux femmes dont la grossesse est normale, c'est-à-dire l'immense majorité d'entre elles.

Cette prise de position résulte aussi des "remontées d'informations" que nous avons sur une certaine insatisfaction des femmes au sujet de leur suivi de grossesse, de l'accouchement et des suites de couches ("hypertechnicisation" de l'accouchement, systématisation des gestes comme l'épisiotomie...).

Enfin, une réflexion sur notre façon, à nous, en France, d'envisager la grossesse : très schématiquement, la grossesse est suivie comme un événement a priori pathologique et non physiologique. Ce qui n'a pas lieu d'être. Cela occasionne un certain nombre de réflexes ou d'interventions techniques au moment de l'accouchement qui, effectivement, reconnaissons-le, n'ont pas toujours lieu d'être (position gynécologique pour l'accouchement, épisiotomies...).

La surmédicalisation de l'accouchement est-elle réelle en France ?

Dr B. M. : Oui. Il y a chez nous une médicalisation des grossesses qui s'est faite au détriment d'un accompagnement humain, ce qui a généré bien des angoisses et a fait perdre aux femmes le peu de confiance qu'elles ont en elles. Or, la grossesse et l'accouchement sont des moments physiologiques se déroulant sans complication dans un grand nombre de cas, mais qui sont, pour les femmes, des bouleversements dans leur vie.

L'accouchement est un moment unique qui n'appartient qu'aux femmes, et que nous devrions mieux respecter.

Pourquoi continue-t-on d'agir ainsi, de médicaliser les accouchements ?

Dr B. M. : En raison du postulat qui affirme que tout accouchement présente des risques imprévisibles imposant, pour y faire face, que tous les moyens humains et techniques soient à disposition. C'est un postulat. Nous avons tous été élevés sous ce principe et nous nous sommes évertués à l'appliquer consciencieusement.

Ailleurs, aux Pays-Bas, par exemple, le postulat de départ est qu'une grossesse est physiologique et va donc bien se passer, sauf avis contraire... Le postulat est inversé, les logiques de suivi de grossesse et de modalités d'accouchement sont inversées aussi.

L'accouchement à domicile est-il plus dangereux qu'à l'hôpital ?

Dr B. M. : Non, si on respecte rigoureusement des conditions de sécurité clairement définies, comme aux Pays-Bas. Là-bas, la prise en charge des grossesses à bas risque et des accouchements à domicile par les sages-femmes est en place depuis longtemps, avec des résultats périnatals favorables. Une grossesse est alors considérée physiologique en l'absence d'antécédents ou de pathologies répertoriées dans une liste nationale validée par tous les professionnels et les autorités.

Les sages-femmes sélectionnent ainsi les patientes devant être prises en charge à l'hôpital et celles qu'elles peuvent suivre à domicile. Lors de l'accouchement, elles doivent repérer toute anomalie qui devrait imposer un transfert à l'hôpital.

Mais, surtout, aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne ou en Scandinavie, la pratique des accouchements à domicile est régulièrement évaluée pour vérifier l'absence de complications, la satisfaction des patientes et le respect des bonnes pratiques professionnelles des sages-femmes qui accompagnent ces accouchements à domicile. D'évidence, dans ces pays européens, personne ne conteste la possibilité d'accoucher à domicile dans ces conditions.

Pensez-vous que les pratiques vont évoluer dans le bon sens ?

Dr B. M. : En juin 2003, se sont tenus les Etats généraux de la naissance, qui rassemblaient sages-femmes et gynécologues-obstétriciens.

Les conclusions de ce rassemblement sont claires : comme dans bien d'autres pays, il faut admettre que l'on peut repérer les risques au cours de la grossesse et que l'on peut prendre en charge différemment les grossesses normales.

Il faut modifier nos pratiques pour n'appliquer que des soins efficaces. La médicalisation des grossesses et des accouchements est excessive, coûteuse et parfois délétère. Les soins non justifiés témoignent d'une communication insuffisante et d'un manque de respect des patientes.

Il faut accepter les accouchements à domicile et autoriser la création de maisons et de centres de naissance (confiés aux sages-femmes, dont le métier est de suivre les grossesses physiologiques).

Ces conclusions ont été reprises pour l'essentiel, au dernier trimestre 2003, dans un rapport demandé par le ministre de la Santé, qui a donc désormais connaissance de tout cela.

Hélas, toutes ces bonnes intentions n'ont pas été suivies d'effet en 2006. Nous attendons toujours les autorisations des maisons de naissance, l'accouchement à domicile reste confidentiel et les sages-femmes qui le pratiquent ne peuvent toujours pas être assurées.

Tout au plus, peut-on observer une meilleure écoute des patientes dans certaines maternités qui développent des pratiques obstétricales nouvelles (mobilisation et multiplicité des positions d'accouchement) et qui s'intéressent à l'allaitement maternel et à l'accueil des nouveau-nés.

Nous pouvons nous améliorer sur le terrain mais les responsabilités doivent être prises à tous les niveaux.

Propos recueillis par Virginie Bétille.

 

 

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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 12:42

Doulas : des nounous pour les mamans

Source : Le Figaro Madame
http://madame. lefigaro. fr/societe/ enquetes/ 182-doulas- des-nounous- pour-les- mamans

Elles sont devenues les nouvelles coqueluches des femmes enceintes. Telles
« S.O.S. mamans en détresse », les doulas écoutent, maternent, chouchoutent
et veillent sur notre bien-être physique et moral. Des secondes mamans sans
les inconvénients ? Enquête.

Paru le 23.11.2007, par Anaïs Albrieux

« Claire a écouté mes doutes plus de cinquante fois avec toujours la même
patience, elle a répondu à mes interrogations sans me juger. Grâce à elle, j'ai
vécu une deuxième grossesse sereine et épanouie. » Ces éloges ne sont pas
destinés à une sage-femme, ni à une amie, mais à la doula qui a suivi Marine
tout au long de sa grossesse. Tel un fil rouge rassurant, cette
accompagnatrice lui a offert l'oreille attentive et le réconfort qui lui
avaient cruellement manqués lors de son premier accouchement.

« Ces dernières années, les protocoles de suivi médical sont de plus en plus
pointus, mais cela prend beaucoup de temps et d'énergie au personnel
médical, et ceci au détriment du suivi psychologique », constate Pascale
Gendreau, présidente de l'association Doulas de France. Pour pallier ce
manque, les futures mamans peuvent donc, depuis peu, faire appel à l'une de
ces quarante-deux accompagnatrices rémunérées, actuellement en exercice en
France.

Très implantées depuis les années 80 dans les pays anglo-saxons, les
doulas - littéralement les « esclaves » en grec ancien ! - sont là pour
choyer les femmes enceintes pendant cette période riche en émotions.
Massages, conseils pratiques et informations de tous poils, dès le 4e mois
de grossesse, la doula s'occupe de leur bien-être physique et moral, sans
jamais s'immiscer sur le terrain médical. Avec un avantage de taille : on
peut la contacter jour et nuit car elle reste joignable 24 heures sur 24 !

Pas des coaches de grossesse !
Après l'accouchement, la doula épaule la maman afin qu'elle récupère au
mieux : du ménage au baby-sitting, elle est sur tous les fronts avec
toujours du savoir-faire à en revendre.
« Je n'arrivais pas à allaiter. Sans les conseils et les encouragements de
ma doula, j'aurais fini par abandonner », confirme Marie-Eve, mère d'une
petite Melluna.

Alors les doulas, coaches de grossesse ? « Pas du tout ! s'exclame Pascale
Gendreau. Elles n'ont pas de programme, ni d'objectif, elles s'adaptent aux
désirs des parents et les accompagnent dans leurs choix. » Voilà pour les
idées reçues.

Dans une société où les familles sont de plus en plus éclatées, les doulas
seraient plutôt un peu comme des mères modernes. La relation de confiance qu'elles
créent va même souvent
au-delà : beaucoup de femmes avouent leur poser des questions intimes qu'elles
n'auraient jamais osé aborder avec leurs proches.

Mais qui sont ces superfemmes ? Des mères, tout simplement. Deux grossesses
« simples » et bien entourées ont donné à Yanick, une ancienne ingénieure en
informatique, l'envie d'apporter son soutien à d'autres. « En surfant sur
les forums, j'ai découvert que beaucoup de mamans étaient très seules et
pleines d'interrogations », explique-elle. Après avoir encouragé par mail
des anonymes et « accompagné » plusieurs amies, elle s'est inscrite sur le
site de l'association de Pascale Gendreau et est devenue, à 36 ans,
apprentie doula. Pour cela, elle a dû suivre une courte formation comprenant
un stage et de nombreuses lectures.

Et le personnel médical ?

Mais ces nounous d'un nouveau genre font grincer des dents. Marie-Josée
Keller, présidente du Conseil national de l'ordre des sages-femmes, s'insurge
contre « cette profession autoproclamée sans formation reconnue » et craint
que les doulas empiètent sur le domaine médical. Elle ajoute que c'est aux
sages-femmes de suivre les femmes enceintes, tout en admettant du bout des
lèvres l'impossibilité avec les moyens actuels de proposer des
accompagnements personnalisés. Le docteur Bernard Maria, chef de service de
la maternité de Villeneuve-Saint- Georges, a, lui, accepté la présence de
doulas en salle d'accouchement et observé qu'elles apportaient une présence
réconfortante pour les patientes. Des études scientifiques, notamment
publiées par le Midwives Information and Resource Service (Midirs), en
Grande-Bretagne, ont d'ailleurs démontré les effets positifs de l'accompagnement
par une doula, avec une baisse constatée de 50 % du taux de césariennes et
une réduction de 25 % du temps de travail à l'accouchement. Et le docteur
Maria de conclure : « La femme enceinte, c'est comme un sportif de haut
niveau. Pour gagner, il y a le coach et sa technique, mais l'émotion et l'empathie
du supporter sont aussi nécessaires ! »

Visites (entre 5 et 10, à répartir avant et après la naissance) : environ 50
euros la séance (de 3 à 4 h). Entre 250 et 400 euros l'accompagnement
pendant l'accouchement.

Rens. : association Doulas de France, www.doulas.info

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L'émergence en France de la profession de doula (ou accompagnante à la
naissance selon certaines écoles) a suscité de nombreuses controverses. Le
Collectif interassociatif autour de la naissance (CIANE) a veillé à
préserver sa neutralité en proposant, notamment, un débat entre toutes les
parties concernées au cours des Etats généraux de la naissance 2006.

Voir enregistrement et transcription complète :
http://www.quellena issancedemain. info/ateliers/ presentation_ des_ateliers/ le_statut_ juridique_ des_doulas. html

Suite à la publication récente d'un communiqué de presse émanant des
collèges professionnels (obstétriciens et sages-femmes) , le CIANE tient à
faire connaître sa position sur la professionnalisatio n de cette activité :
http://wiki. naissance. asso.fr/index. php?pagename= CianeCommuniqueD oulas

Sur cette même page figurent des liens vers les motions d'associations
membres du CIANE ayant pris position sur cette question. Des espaces de
discussion sont ouverts au bas des pages.

Nous vous remercions de diffuser largement le communiqué ci-dessous et de
vous inspirer largement des contenus figurant en liens pour documenter vos
reportages.

-----

Communiqué de presse sur la professionnalisatio n des doulas

Le Collectif interassociatif autour de la naissance (CIANE) a pris
connaissance du communiqué dans lequel le Collège National des Gynécologues
et Obstétriciens Français (CNGOF) et le Collège National des Sages-Femmes
(CNSF) s'opposent à la professionnalisatio n des doulas. Le CIANE rappelle à
cette occasion qu'il n'agit qu'en tant que représentant des usagers et n'a
pas de position a priori sur les professions de doula, accompagnante à la
naissance ou accompagnante périnatale etc. (ces termes n'étant pas
rigoureusement équivalents).

Force est de constater que certains parents trouvent un bénéfice dans le
recours aux services de personnes (bénévoles ou rémunérées) qui n'exercent
pas en tant que professionnels dans les maternités françaises. Le CNSF et le
CNGOF semblent considérer que l 'émergence de cette profession est liée au
manque de moyens et de personnels dans les maternités françaises, ce en quoi
ils n'ont sans doute pas tort. Nous rajouterions volontiers à cette première
explication la technicisation très forte dans la prise en charge de
l'accouchement et la multiplication des intervenants tout au long de la
grossesse et l'accouchement qui ne permettent pas de développer un véritable
accompagnement de la naissance.

Mais s'arrêter à ce constat, demander une augmentation, tout à fait
justifiée, des moyens dans les maternités pour contrer le développement des
doulas ou accompagnant( e)s, et en appeler à leur interdiction, c'est se
méprendre sur ces professions. Rappelons simplement quelques éléments qui
nous semblent utiles au débat :

* Les doulas ou accompagnant( e)s ne se substituent en rien aux
professionnels de santé et ne revendiquent en aucun cas ce statut : elles
n'entrent donc pas en concurrence avec les sages-femmes ou d'autres
praticiens. On notera à cet égard que, contrairement à ce que laisse
entendre le communiqué du CNSF et du CNGOF, les doulas existent dans bien
d'autres pays que les États-Unis et en particulier en Grande-Bretagne, où
elles travaillent en parfaite intelligence avec les sages-femmes, que ce
soit pour des accouchements à l'hôpital ou à domicile.

* Les doulas ou accompagnant( e)s veulent se situer dans le champ des
services à la personne, et entendent proposer un accompagnement à la
parentalité et non à la grossesse et à l'accouchement : leurs modes de
recrutement et leurs formations doivent être évalués par rapport à ces
fonctions et non par rapport à celles des professionnels de santé. Dans la
manière dont elles se définissent, elles se démarquent des sages-femmes et
leur sont complémentaires.

* La reconnaissance de ces professions en France passe très certainement par
une formalisation des formations et l'établissement de règles encadrant
leurs pratiques : les exemples de pays étrangers doivent constituer une base
de réflexion et d'évaluation de ce point de vue ; sur ce sujet comme sur
d'autres, une attitude frileuse et franco-française nous semble
contreproductive.

En conséquence, il nous semble que la question qui se pose aujourd'hui n'est
pas de savoir au nom de quoi on devrait interdire ces pratiques, mais dans
quel cadre juridique elles pourraient s'insérer. Soyons pragmatiques,
regardons comment cela fonctionne ailleurs, trouvons ensemble des solutions
adaptées à notre contexte et qui puissent satisfaire, dans leur diversité,
les attentes légitimes des parents !

--
Collectif interassociatif autour de la naissance
http://ciane. info
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26 novembre 2007 1 26 /11 /novembre /2007 16:43
Semaine de l'enfant à naître
L'Agence Fédérale du Contrôle Nucléaire (AFCN) a eu récemment connaissance de quatre cas d'irradiation involontaire de femmes enceintes lors d'examens radiologique en Belgique. Afin de sensibiliser la population et les professionnels de la santé à ce
problème, l'AFCN organisera, du 3 au 7 décembre prochains, la Semaine de
l'enfant à naître.

Durant cette semaine, toutes les personnes intéressées pourront poser leurs questions via le site internet de l'Agence. Des brochures et affiches seront par ailleurs distribuées au personnel médical, aux praticiens et aux prescripteurs.

Les radiations présentent un risque pour l'embryon et le foetus, variable selon entre autre la dose des rayons et le moment de la grossesse. Selon l'AFCN, les risques majeurs sont l'induction de cancer, les malformations congénitales et les atteintes des fonctions cérébrales. (belga)
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16 novembre 2007 5 16 /11 /novembre /2007 08:48
Je voulais vous faire partager ce site http://www.grainesdevie.be/index.htm

C'est une maison de naissance qui propose un accompagnement global autour de la grossesse.
Je vous laisse découvrir par vous mêmes les activités qu'ils proposent
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24 octobre 2007 3 24 /10 /octobre /2007 09:29
Je vous fais passer un message venant de "Périnatalité". Je pense qu'il est important de faire passer ce message à vos connaissances. 

Une fois de plus, on réprime un mouvement collectif en s'attaquant à des
individus fragiles et isolés.... ce n'est pas la première fois qu'un procès
envers une sage-femme libérale dévie vers le procès de l'accouchement à
domicile en France. Il devient urgent de défendre ce droit, encore existant
en France malgré le fait que les sages-femmes exercent sans assurance (!) Je
rappelle que malgré ce problème majeur, elles sont toujours une soixantaine
à accompagner les couples dans leur désir d'accoucher à domicile, un chiffre
qui reste étonnamment stable.

Sophie Gamelin

---

Message transmis par Morgane :

Vous avez certainement entendu parler des sages-femmes de l'Hérault qui se
sont vues interdire une salle de réunion par le Maire de Castries.

Parmi ces sages-femmes se trouvait Françoise Servent, sage-femme libérale
pratiquant des accouchements à domicile depuis plusieurs années, qui fait
l'objet d'une action en justice suite à la mort d'un nouveau né.

La maman, une amie de Françoise, est venue chez celle-ci pour des douleurs
de fin de grossesse, trois semaines avant terme. Le travail a débuté dans la
voiture et elle est arrivée chez Françoise avec le bébé prêt à sortir. Elle
l'accueilli en plein hiver afin qu'elle n'accouche pas dehors. L'enfant
était malheureusement déjà décédé. Le médecin légiste a conclu à une mort
pendant le travail. Les parents n'ont pas porté plainte mais l'affaire a
tout de même été portée aux tribunaux.

Depuis un an, l'histoire traîne, mais il y a peu le rapport d'expertise d'un
expert sage-femme à Paris semble précipiter les choses. En effet, celui-ci
déforme les propos de la sage-femme incriminée et a même relaté le contraire
de ce qui a été mentionné lors de leur entretien.

Tout porte à croire que cette affaire n'est pas le jugement d'une
professionnelle, mais bien celui de l'accouchement à domicile. On
n'interroge très peu Françoise sur l'affaire, bien plus sur son matériel et
ses méthodes alors qu'il est prouvé qu'elles n'ont pas entraînées la mort de
l'enfant.

L'Hérault compte un grand nombre de médecins opposés à l'accouchement à
domicile et aux sages-femmes libérales en général (voir pour cela
l'interdiction d'ouvrir la Maison de Naissance, créé il y a quelques
années). Françoise est la sage-femme qui réalise le plus d'accouchement à
domicile dans la région Languedoc Roussillon (800 à l'heure actuelle avec un
seul cas d'enfant mort né qui se trouve être notre affaire), c'est donc une
cible parfaite.
C'est certainement pour cette raison que l'on a fait pression sur le Maire
de Castries pour qu'il n'accueille pas ses sages-femmes lors de cette
réunion où Françoise devait donner des informations sur son travail.

Il est important que cette information soit transmise afin que nous
puissions l'aider, la soutenir et qui sait éviter qu'on l'empêche
d'exercer... Ceci par respect pour le bonheur qu'elle a donné à tant de
familles mais aussi pour éviter que l'affaire prenne une mauvaise tournure
et fasse jurisprudence. C'est la liberté d'exercer des sages-femmes
libérales et celle de choisir son accouchement qui sont remis en cause
aujourd'hui.

Si vous avez des pistes pour sa défense, des idées d'action à mener grâce à
vos contacts, les coordonnées de personnes ayant vécu une histoire
similaire, où tout autre information qui pourrait lui être utile, vous
pouvez la joindre directement :

sur cette adresse e-mail : francoiseservent@ 9business. fr
ou par téléphone : 0467596521

Merci à tous pour votre attention.

Ndlr - pour aller plus loin :
> http://www.naitrech ezsoi.org
> http://www.projetde naissance. com/categorie- 628996.html
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13 octobre 2007 6 13 /10 /octobre /2007 12:40

"Une Naissance à Visage Humain", conférence sur le rôle de la sage-femme (Mons)

Jeudi 25 octobre à 20h30

Conférence organisée par Alter-NativeS

Affiches - tracts (PDF) - communiqué de presse

Conférence sur le rôle de la sage-femme : affiche
Affiches - tracts (PDF)

Depuis la nuit des temps et de par le monde, la plupart des femmes ont choisi d'être accompagnées pour la naissance de leur enfant, par d'autres femmes qui ont développé un certain savoir. Les sages-femmes sont plus de 4300 en Belgique. Elles sont surtout connues pour leur présence à la maternité où elles accueillent les parents qui viennent en salle d'accouchement.

Cependant, leur rôle ne s’arrête pas là. De plus en plus de couples sollicitent une sage-femme libérale pour une consultation prénatale plus globale, pour une préparation à l'accouchement, pour la surveillance à domicile d’une grossesse à risques, pour être épaulés à la maison lors du début du travail, pour un suivi post natal des premiers jours ou même pour l’accompagnement complet de leur accouchement à la maison ou dans une maison de naissance (depuis peu à Liège).

Venez découvrir ces multiples compétences, rencontrer des sages-femmes et dialoguer avec des parents ayant vécu une grossesse et une naissance accompagnée.

La conférence sera illustrée par des témoignages de parents.

PAF : 5 EUR/personne - gratuit pour les membres d'Alter-NativeS - pas de baby-sitting

Inscriptions : contact@alternatives.be - 0486/11.34.54 (Anne)

Plus d'informations :

Lieu : locaux des Jeunesses Musicales de Mons Borinage, Chaussée de Maubeuge 430, 7022 Hyon

Accès : Autoroute E19 vers Mons, prendre la sortie Jemappes et le R5 vers Maubeuge. Sortir à Hyon – Frameries (usines), nationale 543. Prendre à gauche jusqu’aux feux. Prendre à gauche, les JMMB se trouvent à +/- 500 m à gauche. PAF : 5€ - gratuit pour les membres - pas de baby-sitting.

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27 septembre 2007 4 27 /09 /septembre /2007 09:29
10 octobre à Gembloux (Belgique)

Isabelle Brabant
Isabelle Brabant

Une soirée pour porter un autre regard sur la grossesse, moment merveilleux à vivre en couple, à l'écoute de son bébé et dans la confiance en ses capacités à mettre son enfant au monde.

Sage-femme depuis 20 ans, Isabelle Brabant exerce sa profession à la Maison de Naissance de Côte-des-Neiges de Montréal depuis 1994. Passionnée par toutes les questions entourant la maternité, elle s'est impliquée dans le dossier de la législation de la profession des sages-femmes, a participé activement au mouvement d'humanisation des naissances et continue à s'engager corps et âme dans l'amélioration des conditions entourant la naissance.

Son livre "Une Naissance Heureuse" est une source d'information et d'inspiration inépuisable pour les parents durant la période de la grossesse et de la naissance.

Infos pratiques :

  • Lieu : Cinéma Royal, Rue du Moulin, 55b, 5030 Gembloux
  • Date : mercredi 10 octobre à 19h30.
  • PAF : 5 EUR - gratuit pour les membres d'Alter-NativeS - pas de baby-sitting
  • Renseignements et inscriptions : contact@alternatives.be ou 0477/47.49.63 (Valérie)

Plus d'informations :

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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 09:37
Voici une émission très très bien faite sans jugement ni critique qui donne un autre éclairage sur ce lieu d'accouchement

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/sur_docks/fiche.php?diffusion_id=55950

Dans les jours qui suivents, d'autres reportages autour de la naissance seront diffusés dans cette émission de France Culture "Sur les docks"
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